« Ce matin, comme chaque matin, Alain Pierson a ouvert la porte de son
bureau à 8 heures précises. Il dirige un office de commissaire-priseur. A
première vue, une petite entreprise: trois employés et un nouveau stagiaire
tous les deux ans. Un bureau de trois pièces, 14 rue Drouot, pratiquement en
face de la prestigieuse salle de ventes aux enchères.
Dans ses locaux, tout est impeccable. () Alain Pierson ne ressent de la
passion que pour les objets et les ventes qu’il organise. Jamais pour les êtres
humains. ()
Ce matin il va devoir choisir un nouveau stagiaire. () Il ne veut pas d’une
stagiaire. Sa florissante entreprise ne pourrait supporter les tensions
érotiques. Qui dit jeune femme de 25-30 ans dit regards langoureux, besoin
de séduire, jalousie, problèmes. Lui ne craint rien de ce côté-là, il se sait
sentimentalement anesthésié et vit très bien ainsi. »
Pourtant, comme souvent dans les romans, l’amour et l’inattendu se cachent
dans la personne de Laure. Elle est jeune, fraîche, très peu sûre d’elle, et
Pierson l’embauche sur le champ. Il est déchiré par cet amour qu’il refuse.
Elle fait ses premiers pas dans l’univers passionnant de l’art.
La meilleure amie de Laure, Léa, a quitté Paris pour se rendre à l’enterrement
de sa grand-mère. Des secrets de familles l’attendent, un rendez-vous avec le
passé, une enquête à mener…
Mathilde est une petite fille d’autrefois. Modèle et sereine, elle a rendez-vous
avec l’Histoire.
Ce roman mêle trois voix de femmes, trois êtres liés par l’amitié et le passé,
et nous fait voyager à travers Paris, Vienne, New-York, Tel-Aviv, Zurich,
Bruxelles et Genève... L’histoire nous entraine dans l’univers de l’art,
dans ses zones cachées et ses années sombres. Mais surtout l’intrigue ne
nous lâche plus, on rit, on pleure, on tombe amoureux et l’on s’émeut avec
ses trois femmes. Comme elles, on a envie de dévoiler le passé – ce passé
sous silence.
En cours de soumission à une sélection d'éditeurs français
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